dimanche 30 octobre 2016

Un peu primaires, les pépés...

Docteur Fred

 
 
 
"Jean était célibataire.
Il vivait avec son père et travaillait pour l'entreprise familiale.
Quand il réalisa qu'il allait hériter de la fortune de son père malade, il décida qu'il devait trouver une femme pour partager sa fortune.
A une soirée d'affaires, il remarqua la plus belle femme qu'il n'aie jamais vue.
Sa beauté naturelle lui coupait le souffle.
Il s'approcha d'elle et lui murmura :
"J'ai peut-être l'air d'un homme ordinaire, mais d'ici quelques semaines mon père va mourir et j'hériterai de 200 millions".
Impressionnée, la femme demanda sa carte de visite et, trois jours plus tard ........... elle épousa le père malade !
Moralité :
En affaire, les femmes sont bien meilleures que les hommes !"

vendredi 28 octobre 2016

Bonne nuit...







Si vous ne connaissez pas l’origine et la signification du mot : NUIT, en voici l’explication.
Dans de nombreuses langues européennes, le mot NUIT est formé par la lettre "N" et suivi du numéro 8 dans la langue respective du pays.
La lettre "N", est le symbole mathématique de l'infini, et le nombre 8 symbolise aussi l'infini.
Ainsi, dans toutes les langues, NUIT signifie l'union de l’infini ! ( N + 8 )
Quand ce fait a été découvert, il est apparu évident que l'on ne comprenait pas comment on ne l’avait pas remarqué avant.
Et voici quelques exemples :
PORTUGAIS : noite = n + oito (8)
ANGLAIS : night = n + eight (8)
ALLEMAND: nacht = n + acht (8)
ESPAGNOL : noche = n + ocho (8)
ITALIEN : notte = n + otto (8)
FRANÇAIS: nuit = n + huit (8)


Heureuse celle qui transmet le savoir et qui vous conseille au moins 8 heures de sommeil...
Et comme le disait Raymond DEVOS :
"Ne pas dormir... nuit !"




"Aimer les gens énormément"...

jeudi 27 octobre 2016

A la folie...





                 Chez les amoureux...






              Les copines...






                         Les copains...



          Les ados ...





          Les petits...
                                                                     Les bébés ...
                                                       Et même Irma la rousse !!!



lundi 24 octobre 2016

Les mots ont un sens


Nous ne connaissions pas la totale définition du mot « horizon » !
D'où la nécessité de bien connaitre la signification de chaque mot, le Larousse ayant toujours raison…
"Notre Président" avait annoncé en 2012 une nette amélioration de la situation économique à l'horizon 2015...
Or, si l'on regarde dans le dictionnaire la définition du mot « horizon », il est noté :
" ligne imaginaire qui recule au fur et à mesure que l'on avance “.......
Il semblerait que cela se confirme !!! 


Le Président des sans dents est encore plus descendant dans les sondages.

mardi 18 octobre 2016

Les perles en forme de ballon de foot !

"- Il a raison d'aller au PSG ; il double son salaire par 4 -
- j'aimerais jouer pour un club italien comme Barcelone -
- je dois beaucoup à mes parents, surtout à mon père et à ma mère
-je peux jouer du pied droit comme du gauche, je suis amphibie -
- ma sœur attend un enfant, je ne sais pas encore si je vais être tonton ou tata -
- on devait maitriser le match à 99%, ce sont les 3% restants qui nous ont été fatals - -90% du jeu est à moitié mental 
  - ma carrière se dégradait avant que j'effectue un virage à 360 degrés pour repartir de l'avant dans la bonne direction 
  - on peut résumer ce sport en deux mots : "on ne sait jamais" 
  - les gars, vous vous mettez tous en ligne en suivant l'ordre alphabétique par taille 
  - formez des duos de trois joueurs puis alignez- vous en cercle 
  - je ne suis pas superstitieux, je fais juste certaines choses parce que j'ai peur que quelque chose se passe si je le fais pas 
  - ça ne me gênerait pas qu'on perde tous les matchs tant qu'on gagne le championnat - nous n'avons pas marqué de buts mais le football ce n'est pas marquer, c'est gagner qui compte 
  - je suis venu à Nantes il y a dix ans; c'est presque pareil aujourd'hui à part que tout est différent 
  - l'Allemagne est une équipe très dure à jouer surtout qu'ils ont 11 internationaux en ce moment 
  - A chaque fois que Détroit marque plus de 100 points et qu'ils maintiennent leur adversaire sous la barre des 100,ils gagnent presque à chaque fois 
  - Ce soir c'est nous qu'on gagne 
  - les gars, aujourd'hui si on gagne pas ou si on fait match nul, surtout on perd pas 
  - 56 cartons jaunes dont 5 rouges 
  - il n'y a qu'une seule possibilité : gagner, perdre ou faire match nul  
- tous les grands pays européens seront représentés : l'Allemagne, l'Italie, l'Angleterre, le japon 
  - comment fait-on pour choisir 5 volontaires ? 
  - ils sont arrivés à 17h00 et repartis à 18h15 après 3 heures d'entrainement 
  - j'ai été très surpris lorsque le sélectionneur a frappé à ma sonnette 
  - Q: vous préférez l'herbe ou "l'Astroturf" (pelouse synthétique) ? 
-  R : je ne sais pas, je n'ai jamais fumé d'astroturf  
- Q : avez-vous visité l'Acropole?
 -R : je ne me souviens plus du nom de toutes les discothèques où je suis allé 
 - Q : selon vous qui va gagner l'euro ?
- R : je vois bien le Brésil "

samedi 15 octobre 2016

Rage



Lui, censé nous représenter, passe « notre » temps à se confier à des journalistes. Peur que l’Histoire, après Lui, ne retienne que le négatif ? Pourtant Lui se raconte encore pire qu’il n’est ! Incommensurable bêtise, masochisme, désespoir d’un optimiste contrarié ? Bourde en tout cas que de s’attaquer, entre autres à la justice, sottise avérée par l’obligation de devoir produire une lamentable lettre d’excuses…
Un pas en avant deux pas en arrière c’est le tango du quinquennat.


Lui ne sera plus Président. C’est vrai qu’il pourra se reconvertir en danseur  mondain argentin, il en a la gomina et la rondeur qui rassure les rombières.
Autre talent : Lui, Président, mine de circonstance, excelle dans la compassion qui fait monter les sondages, orchestre le chagrin collectif et ne manque aucune manifestation où exercer son éloquence macabre.

  

Sa reconversion est évidente aux Pompes Funèbres Générales qui lui ouvriront les bras et les portes du deuil permanent.

 Espérons une résurrection pour notre chère République.

mercredi 12 octobre 2016

Viva América!



 Si Hillary Clinton remporte l'élection présidentielle américaine
 ce sera la première fois dans l'histoire que deux présidents
 américains couchent ensemble.

 Si Donald Trump remporte l'élection présidentielle américaine, ce
 sera la première fois dans l'histoire qu'un milliardaire déménage
 dans un logement public abandonné par une famille noire.

lundi 10 octobre 2016

Comptes de fées-5- et fin



Tais-toi malfaisante, lui ordonnait Pierre hors de lui, tu vois ce que tu as fait !
- Moi, j’ai fait quelque chose, criait la jeune fille, à part obéir à tout ce que tu voulais, d’ailleurs ce que tu peux dire et faire m’est égal : tu n’es même pas mon père. Pierre et Adèle abasourdis regardent leur fille puis Sacha qui semble observer la scène d’un air, mais oui, amusé ! C’était terrible disait la cuisinière, monsieur d’habitude si calme était comme un démon.
- Ah ! C’est comme cela et bien tu vas m’obéir pour la dernière fois : tu vas quitter la maison.
- Cela tombe bien je commençais à être fatiguée que maman joue à la poupée avec moi et que toi, papa, tu me maintiennes docile dans cette petite vie provinciale et mesquine. J’ai d’autres ambitions. Pierre ahuri bégaie :
- Et comment comptes-tu vivre ?
- Voyons papa aurais-tu oublié les donations que vous nous avez faites ? Tous vos biens pour nous deux à notre majorité, il n’y a plus que quelques mois à attendre. Je quitterai la maison dès demain. Les Deberre sont effondrés. Adèle se jette au cou de Sacha :
- Heureusement que je t’ai mon chéri. Pierre en larmes ne voit pas, au- dessus de l’épaule frémissante d’Adèle, le regard tendrement complice qu’échangent les jumeaux.
Le lendemain Pierre, sorti quelque peu hébété  sur le pas de l’annexe, entendit des hurlements provenant  du Castillet, plus précisément de la chambre d’Aude. Il y trouva Adèle en pleine crise de nerfs, si perturbée qu’elle en oublia un instant qu’elle avait interdit à Pierre de la revoir.
- Mais quelle garce, quelle garce ! Dans la nuit j’ai été réveillée par le bruit du moteur de la Panhard…
- Quoi, ma voiture ?
- Évidemment, Aude est partie avec.
- Ne t’inquiète pas elle va revenir, nous allons tous nous réconcilier, ce qui s’est passé hier doit être oublié, viens  je vais te reconduire dans ta chambre. Adèle épuisée se laisse mener, puis ses hurlements reprennent de plus belle :
- Mon coffret a disparu, il était encore là hier après midi, mon coffret ! Tous  mes bijoux et tout l’argent pour les dépenses du mois ! Et tu dis qu’elle va revenir, qu’il faut oublier ! Jamais ! Mais d’abord qu’est ce que tu fais là ? Je t’interdis de revenir ici, même si je suis moribonde.
Depuis cette crise un étrange mode de vie s’installa. Adèle mortifiée se calfeutrait dans ses appartements, ne voulait voir personne. Pierre vivait dans l’annexe, il y recevait une clientèle raréfiée, sortant pour prendre ses repas dans un modeste restaurant de la place du Monument aux Morts. En ville le scandale s’était apaisé mais le docteur ne pouvait ignorer les changements d’attitude de ses amis notables. (Certains avaient beaucoup plus à se reprocher mais avaient eu la chance de ne pas se faire attraper). Pierre était surtout malheureux d’avoir perdu si bêtement femme et fille. L’attitude de Sacha était très ambiguë. Il était triste avec un air de reproche quand il prenait ses repas avec sa mère qui l’accablait d’une tendresse qu’il ne partageait pas. Il ne venait voir son père que s’il y était invité. Il s’absentait souvent, parfois quelques jours, il revenait très excité en restant secret sur ses activités.
 Par la cuisinière Pierre apprit qu’Adèle, sans l’en avertir, s’était retirée au couvent des Bénédictines. Son chagrin fut immense. Il en parla avec Sacha, qui se trouvait maintenant seul au Castillet lequel lui assura avoir été toujours en rapport avec Aude tout en refusant  de lui fournir le moindre renseignement. Pierre voyait que de nombreux  jeunes visiteurs fréquentaient la maison mais il n’était jamais invité. Pierre aurait voulu partager avec son fils, comme avec ses amis au café, ses craintes par rapport aux événements dramatiques qui avaient lieu en Europe tout cet été 1939 mais Sacha était de plus en plus souvent absent. Pierre se sentait vieux, avait besoin qu’on le rassure, qu’on lui confirme que la guerre qu’il avait vécue était bien la « der des ders »…
Vers la fin du mois d’Août il constata que les volets étaient fermés, le Castillet déserté. Intrigué Pierre poussa la lourde porte d’entrée restée ouverte. La grande salle à manger avait à l’évidence servi de salle de réunion, la longue table était recouverte de verres sales, de cendriers débordant de mégots. Ça et là trainaient des cartes du nord et de l’est de la France. Pierre se refusait à admettre l’évidence, pourtant horrifié, il ne put que s’y résoudre à la lecture de quelques tracts d’inspiration nazie et de  maquettes de drapeaux à l’aigle impérial oubliés sur la desserte. Deberre sortit en titubant. Son fils parti rejoindre les assassins de la Pologne. Rien ne lui aura été épargné.
Le lendemain, entre les frondaisons, depuis le portail, le facteur aperçût le corps de Pierre qui se balançait sous le gros chêne.
Le même jour, partout sur les murs des édifices publics, sous les yeux terrifiés de la population, on placardait l’avis de Mobilisation Générale.

dimanche 9 octobre 2016

Comptes de fées-4-



Que raconter des années suivantes ? Tout était tracé et la vie dans cette période bénie suivait son cours sans heurts.
Sacha et Aude inséparables grandissaient  en beauté et sagesse dans ce milieu privilégié. Le directeur de l’école qu’ils fréquentaient avait produit et édité une petite plaquette, sur le thème «  Prépondérance de l‘acquis sur l’inné »  que n’auraient pas renié ceux, que plus tard, on a appelés « psy et socio psy ». Puis les jumeaux  sont devenus de beaux adolescents poursuivant leurs études dans l’ambiance festive des années folles, folles particulièrement chez les nantis ... Ils avaient de nombreux amis communs ou particuliers, mais le lien entre Sacha et Aude restait plus fort que tous les autres. Les parents confiants leur laissaient la bride sur le cou tout simplement heureux de les voir grandir et se contentant, de quelques distraites marques d’affection de plus en plus rares fil des années. Le père alerte quinquagénaire et la jolie maman avaient leurs propres occupations et se donnaient en parents modernes en ne s’immiscent pas dans les intérêts et la vie privée des jeunes gens. Ils formaient une merveilleuse famille, qu’à part quelques jaloux aigris tout le bourg admirait.
Un bel après midi Adèle, Aude et deux amies jouaient aux tous nouveaux « mots carrés » dans la véranda fleurie. Adèle avait besoin du dictionnaire et Aude s’est souvenu qu’elle l’avait laissé dans le bureau de son père. Elle poussa en courant la porte réservée aux patients et s’engouffra dans le cabinet médical. Allongée nue les jambes écartées sur la table d’examen une jeune femme tendait les bras à Deberre tout aussi nu, flamberge au vent. Aude s’enfuit en courant  défigurée par une expression méchante.
- Maman, maman, père est en train de faire l’amour dans son cabinet avec une patiente.
- Qu’est ce que tu racontes, ma chérie, tu es folle tu fais peur à nos amies ! Mais Aude détailla, sans se faire prier, on dirait même avec un malin plaisir, ce qu’elle avait vu. Adèle était effondrée, d’autant que ses amies avaient, encore plus vite qu’elle, compris la situation et prenaient discrètement congé avec une étincelle goguenarde au fond des yeux. Une heure  plus tard le scandale était connu de toute la ville. Ce qui s’est passé après on le sait par la cuisinière et le jardinier, par ailleurs mari et femme, et qui, tout à coup, se sont découvert des griefs vis-à-vis des patrons et se sont fait une joie  de tout raconter à la ronde. Devant Aude  Adèle s’était déchainée dans une scène terrible. L’ex douce Adèle  échevelée pulvérisait vaisselle et objets d’art en hurlant pour la première fois de sa vie les jurons qui  lui venaient de loin, par des générations de mâles Coulange chasseurs de sangliers, c’est dire ! Enfin reprenant un calme encore plus inquiétant Adèle décidait :
- Je veux que nous nous réunissions immédiatement tous les quatre, va chercher ton père et ton frère. Devant ce tribunal impitoyable, madame dressée comme une furie, le pauvre docteur, racontait la cuisinière, se faisait tout petit, les larmes aux yeux. Aude et Sacha, silencieux, semblant réprimer une certaine jubilation se tenaient côte à côte, assis sur le divan à têtière de macramé. Pierre tête basse :
- Ma chérie je suis vraiment désolé, je te demande pardon.
-Pardon ? Ce serait trop facile, tu n’es plus rien pour moi et voilà ce que j’ai décidé…
- Adèle je t’en prie ne fais rien sur le coup de la colère, nous reparlerons demain...
- Demain ? Je ne veux plus te voir et tu ne mettras plus les pieds dans la maison. Je te cède l’annexe où tu pourras jouer au docteur vicieux.
- Adèle, Adèle, les enfants…
- Quoi les enfants? Ils seront bientôt majeurs, ils peuvent tout entendre surtout que ta fille t’a surpris en honteuse attitude.
- Adèle c’est la première fois que cela se produit et je te jure que c’est la dernière.
Jusque là raconte le jardinier, planqué derrière un volet entr’ouvert, l’ambiance  était plus qu’électrique, elle est devenue dramatique quand Aude s’est levée accusatrice:
- Maman, reste ferme, ne l’écoute pas, il y a certainement des années que cela dure, ton mari est un pervers.