mardi 30 octobre 2012

Pour François le niçois...



En complément de sa série de photos sur les tirages de langue :
Même pas cap!






dimanche 28 octobre 2012

Déco payante.



De nombreuses maisons de Bratislava ont été détruites pendant les guerres napoléoniennes. Sur les     façades endommagées de certaines des boulets de canon étaient restés inclus.
Il fut décidé que leurs propriétaires seraient exonérés d'impôts.
Évidemment des petits malins ont récupéré des boulets perdus pour les afficher sur leur domicile...
C'est vraisemblablement le cas pour celui qu'on peut découvrir en haut de cet élégant immeuble.





Napoléon, lui, a eu droit bien plus tard, a une statue de bronze dans une posture peu flatteuse...

samedi 27 octobre 2012

Similitudes.


La face publique des Anges.




Angela Merkel, Angela Landsbury, même gestuelle... et couturier de l'Europe de l'Est.




  




vendredi 26 octobre 2012

Le français animalier.

«Myope comme une taupe», «rusé comme un renard» «serrés comme des sardines»... les termes empruntés au monde animal ne se retrouvent pas seulement dans les fables de La Fontaine, ils sont partout.

La preuve: que vous soyez fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme un âne, malin comme un singe ou simplement un chaud lapin, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.

Vous arrivez à  votre premier rendez-vous fier comme un paon et frais comme un gardon et là , ... pas un chat !
Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Il y a anguille sous roche et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard, la tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié: cette poule a du chien, une vraie panthère! C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien.

Vous êtes prêt à  gueuler comme un putois quand finalement la fine mouche arrive. Bon, vous vous dites que dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, malgré son cou de cygne et sa crinière de lion est en réalité aussi plate qu'une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Une vraie peau de vache, quoi ! Et vous, vous êtes fait comme un rat.

Vous lui roulez des yeux de merlan frit, vous êtes rouge comme une écrevisse, mais vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à  l'âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le cafard, l'envie vous prend de pleurer comme un veau (ou de verser des larmes de crocodile, c'est selon). Vous finissez par prendre le taureau par les cornes et vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre.

Vous n’êtes pourtant pas une poule mouillée, mais vous ne voulez pas être le dindon de la farce. Vous avez beau être doux comme un agneau sous vos airs d'ours mal léché, il ne faut pas vous prendre pour un pigeon car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie. Et puis, ça aurait servi à  quoi de se regarder comme des chiens de faïence ?
Après tout, revenons à  nos moutons : vous avez maintenant une faim de loup, l'envie de dormir comme un loir et surtout vous avez d'autres chats à  fouetter"……..


jeudi 25 octobre 2012

Bertillon.

Ce n'est pas un doigt d'honneur mais un doigt honorable...



mercredi 24 octobre 2012

Futuroscope.

Les intellectuels avaient leur" lecture room"on l'appelait bibliothèque.
Les musicologues allaient au "music room" Opéra ou autre salle de concert.
Depuis longtemps  pour les adeptes de religions diverses on avait aménagé des"prière room ", église, mosquée, synagogue...
Pour les musclés il y avait  des "sport room" etc...etc
Tous ces braves gens en somme n'étaient guère dérangeants pour la collectivité riveraine, proche ou lointaine .
 Nouveau, ça vient de sortir, voilà qu'on s'occupe de ceux qui font tache dans le paysage urbain; on doit les protéger d'eux-même et les éloigner du regard des petits enfants que leur triste exemple pourrait choquer, voire contaminer.
La question du jour est : pour des raisons d'hygiène et de sécurité doit t-on ouvrir des "shoot room" où les drogués pourront , à condition d'amener leur dose, pratiquer dans les meilleures conditions possibles?
Du pour, du contre, réponde qui veut.
Relatives aux nuisances sociétales diverses, questions pour demain :
Pour les compagnons de ces femmes battues dont les cris sont perturbants pourrait-on imaginer des "torgnole room" où ils pourraient se défouler , à condition d'amener leur compagne?
Pour ceux qui ne peuvent conduire sans boire faudrait- il aménager des circuits automobile spéciaux ?
Pour les loubards amateurs de tournantes, gênantes dans les caves d'immeubles, faudrait-il envisager des "viol room"?
Je sais vous me direz que j'y vais un peu fort, à la brutale.

Ma réaction n'est motivée que par le Grand scandale, plus que gênant, dramatique, qui lui ne date pas d'hier et va croissant: les individus, les familles sans domicile, honteusement laissés dans la rue.
Comme ont dit dans les arcanes du pouvoir n'est-ce pas "la priorité des priorités"?
Simplement construire des "room", sans qualificatif.
Traduit dans la langue de chez nous :
                                         DES LOGEMENTS SOCIAUX .



dimanche 21 octobre 2012

Test visuel.


Si tu vois de belles cuisses fuselées tape 1.

Si tu vois un bébé chien tape 2.





jeudi 18 octobre 2012

Ayez le portable discret...

Après une longue et fatigante journée au bureau, une jeune femme se cale dans son siège et ferme les yeux pendant que le train part de la gare.  Dès que le train sort de la gare, le gars assis en face d’elle sort son portable et commence à parler fort


 ‘’ Salut Mon Cœur, c’est Eric, Je suis dans le train –........... Oui, celui de 18:30 et pas celui de 16:30, parce que j’ai une longue réunion –..............
    Non Chérie, pas avec le nul de la Compta, mais avec le Patron –
    Non Mon Cœur, tu es la seule femme de ma vie –
   Oui, j’en suis sûr, promis-juré … ‘’                  
                   etc.., etc..
Un quart d’heure plus tard, le gars continue à parler haut et fort, lorsque la jeune femme assise en face visiblement exaspérée par ce bavardage continu et bruyant  se met à hurler :
‘’ Ho !, Eric, éteins ce stupide téléphone et reviens au lit ! ’’
Depuis, Eric n’utilise plus son téléphone portable dans un lieu public
.

mercredi 17 octobre 2012

Aventure martienne.

                                                       

                                                           Lui y va tout droit ;
On peut aussi faire plus classique :

http://www.youtube.com/embed/XRCIzZHpFtY?rel=0

mardi 16 octobre 2012

Etonnant.


  Instructions:


 
1. Fixer le point rouge sur le nez de la fille durant 30 secondes.
 
2. Tourner vos yeux sur une surface plane (un plafond ou un mur) et, en même temps :
 3. Cligner des yeux rapidement et à répétition. 


N'est-ce pas la chose la plus cool que vous ayez vue?
L'image de cette même fille apparait au mur (et en couleurs
) !!!!


Notre cerveau nous réserve bien des surprises.

dimanche 14 octobre 2012

""Au-dela de cette limite votre ticket n'est plus valable"".

Un Instituteur demande  à ses élèves : " Quelle serait pour vous une belle mort ? "
Ce à quoi une petite fille au fond de la classe répond :  " C'est mourir comme mon grand-père. "
- " Ah bon", réplique le maitre. " Et comment est-il mort ton grand-père ? "
- " Il s'est endormi."
Là-dessus le maitre demande : " Et quelle serait alors selon vous une mort atroce ?"
 Et la même petite fille répond : " Ce serait mourir comme les copains de mon grand-père."
Le maitre intrigué demande alors à la petite fille : " Et comment sont-ils morts ? "
- " Ils étaient dans la voiture de mon grand-père quand il s'est endormi..."
Donc ..... A quel âge doit-ont arrêter de conduire ?

 
Vous ne savez pas ?

Regardez la tête du chien ...   

Lui ... il sait !!!

jeudi 11 octobre 2012

Illuminations ferroviaires.

T.G.V Hendaye – Paris.

Il appuie son front fiévreux contre la vitre.Les deux garçons,  dans le compartiment côté couloir sont absents à tout ce qui les entourent. Certes ils sont sages, bien plus que les préadolescents d’il y a quelques années. Leur père a essayé  d’engager la conversation. En vain .
L’un, écouteur aux oreilles est affalé, béat les yeux fermés ; l’autre manipule son i pod avec une vélocité presque inquiétante.
Quelle déception cette semaine de vacances à Biarritz ! Il s’en faisait une joie depuis le temps qu’il n’avait pas été seul avec ses garçons, ce sont ses petits quand même !
Ils sont élevés par leur mère, son ex-femme et le compagnon de celle-ci. Il avait espéré retrouver certains moments d’intimité quand ils étaient tout petits ils se disputaient pour se lover sur ses genoux et prenaient sa main pour la passer sur leurs boucles brunes ou leur  chatouiller le dos; ils ronronnaient comme des petits chats... Certes, ils sont maintenant à l’âge de toutes les pudeurs et des manifestations d’indépendance, mais leur froideur inattendue à son égard l’a profondément  blessé. Après un divorce traumatisant  ils avaient été séparés trop longtemps , le lien était rompu et ne se renouerait pas. Les garçons avaient tourné la page ; il ne leur en voulait pas d’une attitude qui n’était sans doute qu’une réaction de protection, mais il avait failli pleurer quand le plus jeune avait parlé de « papa » et qu’il savait qu’il ne s’agissait pas de lui mais de « l’autre ».
Oui, un désastre cette semaine. Il avait plu presque tous les jours et le matériel de surf tout neuf était resté à l’hôtel. Pas question de les distraire avec une glace et un tour  de manège. Il avait loué une voiture, excédant de beaucoup le budget prévu, pour leur faire connaître le Pays Basque, ils avaient suivi indifférents et boudeurs.
Maintenant dans ce train il les ramenait à leur mère (étaient-ils avec elle aussi froids qu’avec lui ?) le cœur lourd, l’échec douloureux. Voudraient-ils le revoir plus tard ? Il en doutait . Et, lui, honnêtement, désirait-il refaire une expérience de ce type ? A Paris l’attendaient son petit studio de solitaire et surtout sa recherche éperdue d’emploi. Il avait tout perdu en même temps, femme, enfants, maison, travail. "Tu n'es pas le seul dans ce cas" disaient les rares amis qui lui étaient restés. Piètre consolation. De temps en temps son regard quittait le paysage défilant pour se porter sur les enfants avec une  charge d’amour intense qu’il savait, hélas, incommunicable.

                                                        Dax :- dix minutes d’arrêt

 T.G.V Paris- Hendaye.

Ah ! sa mère, égoïste, inconsciente, c’est elle qui aurait du convoyer la mémé. Pauvre vieille qui se fait toute petite avec ses mains qui tremblent sur ses genoux, qui lève constamment des yeux inquiets vers sa valise :
- Tu l’as bien calée au moins, elle ne va pas tomber ?…
Elle a du l’accompagner de nombreuses fois aux toilettes et pourtant elle s’est sans doute oubliée, une odeur acre a rejeté la jeune femme près de la fenêtre.
On ne demande pas à une petite-fille d’accompagner sa grand-mère, chérie de surcroit, dans une maison de retraite, un mouroir plutôt, un habitat en CDI, généralement de courte durée . Dès qu’un pensionnaire y meurt on fait appel au premier de la liste d’attente. Cela s’était passé ainsi pour mémé, mais sa mère, ah ! Sa mère lâche comme toujours, avait déclaré avoir trop de peine pour faire ce  lointain voyage.
Elle a des larmes plein les yeux et s’efforce de donner à sa voix un ton joyeux :
- Tu seras bien, mémé, la maison n’est pas loin de la mer, tu auras des médecins sur place pour te soigner, tu te feras des amies, tu ne seras jamais seule, il y a des animations…
-Ne t’inquiète pas ma chérie, si tu peux me téléphoner de temps en temps ce sera très bien.
Sa mémé elle ne la reverra sans doute jamais, tous leurs moments de tendresse lui reviennent en mémoire, trésor d’enfance et de jeunesse à jamais perdu, une grosse boule  monte dans sa gorge …

                                                 Dax :- dix minutes d’arrêt.

Elle a baissé la vitre et secoue sa longue chevelure dorée en étirant les bras  ;
De l’autre côté du quai, en face, Il passe le haut de son corps à l'extérieur pour humer la fraicheur de l’air.
Leurs regards se rencontrent dans un éblouissement immédiat. Ces yeux clairs si tendres il les attendait depuis si longtemps, elle trouve enfin ce visage mâle aux traits fermes auquel elle rêvait !
Maintenant ils savent que leur intense liaison ne durera qu’un instant. Il tente télépathiquement de lui raconter sa vie et tout le bonheur qu’il attend d’elle ... Elle lui transmet son besoin de tendresse et sa confiance en lui. Elle lui sourit, oui, d’un large sourire heureux, il y répond, timidement d’abord puis avec enthousiasme. Ils se sont trouvés ; ils se sont compris. Moment de pur bonheur.

Des annonces en cris ; des bruits sombres,des grincements tragiques.
Les convois s’ébranlent, en sens inverse, déchirant à jamais leur avenir.

.

mardi 9 octobre 2012

Me revoilou.

Une manouche entrer aux États- Unis ? même pas en rêve...





 La roulotte a été détournée vers Budapest :









Impossible de stationner, Saint Étienne ayant dit : Niet !













 Il a fallu tenter Bratislava...






A l'ambassade de France on affichait: "Quand on aime la France on ne la quitte pas"....





Ce n'était guère encourageant,




Essayons Schonbrunn  ou même Sissi ne s'est pas laissée attendrir ....





Pigeonnée à Vienne où le Danube était si bleu!



















A Durnstein repoussée par Richard Cœur de Lion;




Il ne restait que Passau la Venise bavaroise puis Munich et sa bière consolatrice... et surtout, surfant sur des flots de mousse,
Le retour heureux près des amis...


Petits bouts d'zique.


vendredi 5 octobre 2012

Défifoto octobre: insolite.

                                                                         I

                                             "Ex-camé cède matériel d'occasion état neuf".



                                                                      II                                                

                                                          Machine à blackbouler